Impression ou questionement?

A la suite de de différentes questions soulevé dans diffèrent posts ou fora, je me pose la question de savoir qui a raison, a-t-on le droit de s'alarmer et ou sont les véritables interrogations?

Je m'explique:

Les distributeur de tabacs ont-ils le droit d'ajouter de l'eau, des adjuvants, du propylène glycol ou autres conservateurs?

La culture du tabac doit-être  bio, pas bio?

Ne sommes-nous pas à coté de la plaque,

Le tabac est nocif(du moins c'est ce que l'on nous rabâche à longueur de journée), mais est-ce vraiment une réalité et n'est-ce pas un bouc émissaire pour cacher toutes les saloperies que l'on nous fait absorber: nourriture issue des OGM, polluée aux pesticides, viandes poussées aux hormones, poissons gavés aux farines animales, air chargé de dioxines d'azote et autres, isolation saturée d'amiante, de fibres de verre, de laines de roche, et j'en passe, la liste risque d'être longue.

Certes le tabac n'est peut être pas un modèle de vertu, mais arrêtons de se prendre la tête de savoir si l'ajout d'un pouillème de conservateurs nous atteint dans notre honneur de consommateur.

Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit: les manufacturiers ont  le droit de ce faire du profit sur le dos des consommateur et en les bernant.

Non, mon interrogation est plutôt de se demander si le tabac doit être propre, ou accepter quelques adjuvants.

Est-ce que ces derniers sont mauvais pour la sante et dans quelles mesures ils le sont par rapport au tabac que nous inhalons?

Je suis conscient que le tabac n’est pas bon,bon,bon pour la santé mais c’est comme tout il ne faut pas en abuser.

 Mais quelle place tient-il sur une échelle de risques et l’ajout de conservateurs ou autres augmente-t-il ce risque?

Feu mon grand-père, médecin de son état, me répétait que tout est histoire d'ingestion de saloperies et de saturation du corps.

Accepter quelques adjuvants c'est accepter d'encaisser. C'est à chaque personne de connaître ses seuils de tolérance.

Pour moi la messe est dite. Quand je me fume un tabac bien lourd en machins bizarres, j'ai le même sentiment qu'en mangeant un plat tout prêt qui sent le Monsanto : y a intérêt que ça ait bon goût, et que ce soit pas trop fréquent. Je vous raconte pas le mal de tête à force de s'enfiler (avec modération en plus) des verres d'un vin de l'Aude dopé aux pesticides plus que de raison.

J'me suis ouvert un Semois qui traînait depuis un moment en cave. Eh ben finalement, malgré tout ce que j'ai pu écrire et savourer, s'il n'en fallait qu'un seul...

De toute façon, plus ça va, moins j'aime tous ces trucs (déjà que...)

Bah,c'est sur,faudrait tout analyser et la on laisserait tomber par mal de chose que ce soit dans la nourriture,vin,tabac etc...l'évolution aidant tout est fait pour conserver et prolonger leur durée de vie afin de toucher un maximum de consommateur..les fast food et leurs si bons sandiwch qui n'hésitent pas à rendre obèse les adeptes...alors tabac au chocolat,vanille,rhum,wisky,caramel et autre concentré tout sauf naturel...un régal pour certains palais...catastrophe pour notre organisme...mais les études de comportement ça sert à ça...ça vous plait,en voila....Au bout du compte,à qui la faute ?..au consommateur !
Moi le premier bien entendu..conscient bien entendu,et c'est bien la pire.
C'est un phénomène qui perdure pour chacun tant que tout va bien.
Bon ça ne répond ni ne résout la question,mais ce qui est sur(pour moi) est que ce qui n'est pas naturel est potentiellement dangereux pour notre organisme....A chacun de savoir se doser...Se consoler en pensant qu'après tout à l'instar de l'espèce animale au formidable pouvoir d'adaptation,demain on va peut-être pouvoir assimiler tous ces ajouts chimiques et autres???...

Je vous ai déjà assez rebattu les oreilles avec les % d'additifs (agents divers et variés, arômes ajoutés et j'en passe) pour ne pas recommencer... quoique !
... avant '80 : pas d'adjuvants acceptés (tolérance à 0,5%) dans les tabacs anglais.
Les adjuvants ne sont absolument rien d'autre qu'un intérêt commercial bien compris, et malhonnête, rien d'autre.

En ce qui concerne la nourriture, je porte la même attention à ce que je mange : en agro-alimentaire il suffit déjà de lire les étiquettes pour faire un tri, pas parfait, certes, mais c'est déjà ça.
Pour les produits frais, je m'approvisionne là où je sais trouver la qualité : origines, conditions d'élevage, etc.
À Paris, où l'on n'est pas obligé de fréquenter les grandes surfaces, c'est possible, dans certains quartiers plus que d'autres, certes, et en ce qui me concerne j'ai la chance de vivre dans un quartier plutôt bien loti en la matière (les Abbesses, à Montmartre)
Plus cher la qualité ? souvent vrai, mais pas toujours, mais c'est néanmoins là que le fossé se creuse et se creusera : le pouvoir d'achat.
Mais pas seulement, il  reste pour nous la liberté de porter tel ou tel regard à la consommation, en connaissance de cause.
(si je mange (rarement) des Haribo, je sais ce que j'avale, c'est mentionné sur le paquet)

Pour en revenir au tabac, libre à chacun de fumer ce qu'il lui plaît, à condition d'avoir conscience de ce qu'il fume : rien de plus consternant que de lire ici ou ailleurs que tel tabac à 20... ou 29,7% d'additifs semble naturel...
Et comme l'état aime se mêler de nos goûts et appétences, ce qui serait pertinent, ce serait plutôt d'obliger les fabricants à mentionner clairement la composition de leurs tabacs : % d'arômes ajoutés et leurs natures, % de glycol et autres adjuvants... comme la loi l'exige en matière alimentaires.
Il n'y a pas si longtemps, les pochettes mentionnaient les taux d'adulants et de tabacs, sans plus de précisions, mais au moins ça m'incitait à ne pas les acheter : il me semble que ces mentions sont de moins en moins indiquées.
Quand aux boîtes, très rarement avant et plus du tout maintenant, d'où l'idée assez commune que ces conditionnements renfermeraient des tabacs "naturels".
C'est pas compliqué, et ce serait-là une vraie bonne décision; après, et en connaissance de cause, libre à chacun de fumer ça ou ça.

Stout a écrit:Je vous ai déjà assez rebattu les oreilles avec les % d'additifs (agents divers et variés, arômes ajoutés et j'en passe) pour ne pas recommencer... quoique !
... avant '80 : pas d'adjuvants acceptés (tolérance à 0,5%) dans les tabacs anglais.
Les adjuvants ne sont absolument rien d'autre qu'un intérêt commercial bien compris, et malhonnête, rien d'autre.

En ce qui concerne la nourriture, je porte la même attention à ce que je mange : en agro-alimentaire il suffit déjà de lire les étiquettes pour faire un tri, pas parfait, certes, mais c'est déjà ça.
Pour les produits frais, je m'approvisionne là où je sais trouver la qualité : origines, conditions d'élevage, etc.
À Paris, où l'on n'est pas obligé de fréquenter les grandes surfaces, c'est possible, dans certains quartiers plus que d'autres, certes, et en ce qui me concerne j'ai la chance de vivre dans un quartier plutôt bien loti en la matière (les Abbesses, à Montmartre)
Plus cher la qualité ? souvent vrai, mais pas toujours, mais c'est néanmoins là que le fossé se creuse et se creusera : le pouvoir d'achat.
Mais pas seulement, il  reste pour nous la liberté de porter tel ou tel regard à la consommation, en connaissance de cause.
(si je mange (rarement) des Haribo, je sais ce que j'avale, c'est mentionné sur le paquet)

Pour en revenir au tabac, libre à chacun de fumer ce qu'il lui plaît, à condition d'avoir conscience de ce qu'il fume : rien de plus consternant que de lire ici ou ailleurs que tel tabac à 20... ou 29,7% d'additifs semble naturel...
Et comme l'état aime se mêler de nos goûts et appétences, ce qui serait pertinent, ce serait plutôt d'obliger les fabricants à mentionner clairement la composition de leurs tabacs : % d'arômes ajoutés et leurs natures, % de glycol et autres adjuvants... comme la loi l'exige en matière alimentaires.
Il n'y a pas si longtemps, les pochettes mentionnaient les taux d'adulants et de tabacs, sans plus de précisions, mais au moins ça m'incitait à ne pas les acheter : il me semble que ces mentions sont de moins en moins indiquées.
Quand aux boîtes, très rarement avant et plus du tout maintenant, d'où l'idée assez commune que ces conditionnements renfermeraient des tabacs "naturels".
C'est pas compliqué, et ce serait-là une vraie bonne décision; après, et en connaissance de cause, libre à chacun de fumer ça ou ça.

En effet, tout à fait d'accord. Au moins on saura ce que l'on fume. Pour du tabac "pur" faudra cependant bien chercher ... le emois peut-être, le temps que cela dure car il n'y a plus que 2 fabricants de VRAI Semois!

Non. Trois.

Stout a écrit:
...Et comme l'état aime se mêler de nos goûts et appétences, ce qui serait pertinent, ce serait plutôt d'obliger les fabricants à mentionner clairement la composition de leurs tabacs : % d'arômes ajoutés et leurs natures, % de glycol et autres adjuvants... comme la loi l'exige en matière alimentaires.
Il n'y a pas si longtemps, les pochettes mentionnaient les taux d'adulants et de tabacs, sans plus de précisions, mais au moins ça m'incitait à ne pas les acheter : il me semble que ces mentions sont de moins en moins indiquées.
Quand aux boîtes, très rarement avant et plus du tout maintenant, d'où l'idée assez commune que ces conditionnements renfermeraient des tabacs "naturels".
C'est pas compliqué, et ce serait-là une vraie bonne décision; après, et en connaissance de cause, libre à chacun de fumer ça ou ça.

Oui, entièrement d'accord avec toi Stout...
Mais la vraie raison de la diminution des "mentions" ne serait-elle pas dû à la crainte des fabricants de justement
éveiller les "hygiénistes" (comme dirait pepere), ministres et autres anti-tabacs et ainsi être pris pour cible ?
Le monde/l'industrie de la pipe et des tabacs à pipe semble "prendre du mieux" depuis quelque temps, 
mais survivrait-elle à une attaque en règle alors qu'elle se relève à peine ?  Je ne crois pas...
Enfin, ce n'est que mon opinion

Saviez-vous que c'est sur le tabac qu'eurent lieu les premiers OGM ?... Saviez-Vous que les cubains et d'autres cultivent une race de tabac stérile (sans fleur)?...

gavroche a écrit:Non. Trois.

Martin et Couvert, qui est le troisième ?

Denis Mc Kie a écrit:

gavroche a écrit:Non. Trois.

Martin et Couvert, qui est le troisième ?

tu es vraiment vexé Denis  

Si c'est celui de qui je ne veux plus prononcer le nom, oui. Cependant il ne produit PAS du vrai Semois!
Couvert et Martin n'emploient que de la Semois et font leur mélanges en fonction des années de séchage (car bien que ce soit le même plant il fournit un tabac différent selon les intempéries, l'acidité du sol etc. comme toutes les plantes d'ailleurs). Martin utilise 3 années par composition.
"L'autre" prétends que ces produits sont 100% naturels et ne contiennent aucun produit ajouté, ni même conservateur ... son tabac étant "plein d'arômes merveilleux". Pourtant il avoue dans un interview sur YouTube qu'il emploie une "recette secrète" et mélange de 10 à 15% d'un autre tabac à ses mélanges (du Maryland, mais chut …grand secret ?). 

J"avoue cependant, car il faut être juste, que son tabac est bon!

@Denis Mc Kie  je parle de Monsieur Didot... pas du joueur de cartes...

Désolé, je n'avais pas pensé à Didot;... qui ne fabrique plus mais fait fabriquer industriellement par une société de tabacs en Flandres (si mes informations sont exactes).

Ce que je sais de Monsieur Didot , c'est qu'il m'a offert des graines de son Sémois... c'est donc du vrai Sémois car chaque tabac a sa spécificité en tant que plante... si ce n'était du vrai semois, il ne m'aurait rien offert...

Il y à tellement de questions à se poser dans ce monde qui va trop vite et qui ne vit que pour la rentabilité,le profit etc... Perso, je ne me pose plus trop de questions mais j'essaye de rester dans le plus naturel que possible au niveau nourriture,Boissons et tabacs bien sur.